Daniel Picq. Enfants perdus, réfugiés en Franche-Comté (livre papier broché)

Une intrigue  originale ! Un dénouement émouvant !

Livre papier broché, 146 pages.

Un roman psychologique 
Une intrigue  originale ! Un dénouement émouvant !
Des références de chansons que le lecteur aura tout au long de l 'action, plaisir à retrouver.

Un roman complet!

1942... Paris est occupé... Des femmes et des hommes deviennent résistants. Pour ces audacieux, la vie dans la grande ville est difficile. Leur envie de vivre libre, leur opiniâtreté à vouloir chasser la botte allemande comportent des risques. L’occupant arrête et déporte. Thérèse Durieux subira ce sort! Désormais seuls, ses enfants, Pauline et Jean, pris en charge par la Croix-Rouge, seront envoyés loin du tumulte, dans les fermes accueillantes du Haut-Doubs, en Franche-Comté.

Pianiste avant d’être résistante, Thérèse chantait tous les soirs une chanson à Pauline et Jean, séparés en 1942, dès leur arrivée à la gare de Pontarlier.

Jean recherchera pendant plusieurs années sa sœur Pauline. Cette quête sera un long chemin de vie. C’est par celui-ci qu’on découvre la vie de ce Haut-Doubs, sa nature, la beauté de ses saisons et sa population.

Soixante ans plus tard, la chanson de leur maman les réunira-t-elle?

L’auteur souhaite interpeller le lecteur sur un épisode parisien: celui de la «drôle de guerre». Il évoque l’Occupation qui en découle, avec sa terreur et sa cruauté. Dans un second temps, il dépeint la beauté des paysages du Hauts-Doubs et rend hommage au grand cœur de ses habitants.

Daniel Picq  est auteur, compositeur et interprète. Il signe avec de grands éditeurs de la chanson et aujourd’hui, en poursuivant ce travail, il souhaite, avec ce premier ouvrage, écrire plus qu’exige le temps court d’une chanson. Éditions Cabédita, en librairie.

Une dédicace : C'est avec un grand plaisir que j'ai lu votre roman...Bouleversant! Que de vies abimées, détruites par ces guerres qui n'en finissent pas. Les hommes sont fous. La vie pourrait être si belle. Vous avez su avec beaucoup de justesse traduire ces émotions, ces désespoirs. Oui, j'ai beaucoup aimé votre livre. Croyez en ma plus vive sympathie.

                                                                                                                                                                                                                                                               Isabelle AUBRET